J’ai pris la parole hier soir au milieu d’un think tank d’étudiants.
Le top 3 ressorti des sujets à aborder:
1: Qu’est-ce qui vous rend le plus heureux?
2: Comment trouver du sens dans son travail. Et en creux dans sa vie?
3: Comment faire que chacun trouve sa place , en équipe, au travail ?
Allez, je commence par la fin Et je ne vous fais pas languir: je leur ai dit quelque chose du genre:
C’est d’être unifié. Du mieux que je peux.
Dans chaque instant. Du mieux que je peux.
C’est vivre l’unité -et pas l’uniformité- avec son monde intérieur et extérieur. Du mieux que je peux.
C’est du coup permettre l’unité -et pas l’uniformité- entre les mondes , les entreprises et les différentes facettes du business :
que ce soit une entreprise, une ONG ou un collectif d’indépendants hybride.
Vivre cela ouvre à la vie vraie, bien belle, bien remplie de sens pour soi et pour le monde.
En relisant cette journée d’hier, je réalisais que j’avais eu « la chance » dans la même journée :
-de parler à un fonds en cours de création dans la Greentech,
-de participer à la fondation d’un institut -un autre think tank appliqué- pour restaurer/augmenter le lien au travail,
-d’avoir échangé avec un CEO de 15 ans plus jeune, pour accompagner au mieux les besoins d’une cliente en transition entre l’ancien et le nouveau monde avec ses 300 collaborateurs de tous âges.
-d’être au milieu de ces jeunes au regard et au désir pétillant d’un monde plus riche
Cette « chance » n’est pas venue pas hasard hier.
A un moment, des rencontres, des évènements se mettent en mouvement.
A un moment, d’une manière ou d’une autre : on vient vers vous et on vous demande de leader.
Et la question alors est : serez-vous prêt?
Serez-vous prêt à vous mettre devant ce groupe, ce collectif ?
Serez-vous prêt à écrire ce livre?
Serez-vous prêt à prendre et mener à bien ce travail?
Serez-vous prêt à avoir cette discussion courageuse?
Serez-vous prêt à mettre en place cette transformation collective…
Qui commence par votre transformation personnelle.
On a tous ce biai cognitif où on sur pondère l’état d’arrivée, la réussite, les réalisations.
Et on oublie le plus important : le voyage et son témoignage.
L’expérience pédestre du quotidien, qu’elle soit fluide ou rugueuse.
Les bonnes conversations qui l’accompagnent.
Hier soir, j’ai eu alors un énorme sentiment de gratitude pour les plus fidèles collaborateurs de mon propre voyage
Gratitude pour celle que j’aime et qui me coach au quotidien : Maëlenn ma femme,
Gratitude pour ceux qui me font grandir depuis 20 ans, par le collectif qu’ils forment et les richesses si belles et particulières de chacun : mes enfants (ma « tribu »).
Gratitude envers ceux qui m’ont planté dans le monde que j’aime : mes parents.
Et vous : vers qui tournerez-vous votre gratitude aujourd’hui ? ce WE ?
L’important : c’est le voyage,
du mieux que vous pouvez,
maintenant